Voyage voyage

Byzance, Constantinople, Istanbul. Ces noms qui sont ceux d'une même ville évoquent un passé riche et tumultueux.

Là comme partout, la "modernité" fait son oeuvre, et l'époque des amours de Pierre Loti avec Aziyadé est révolue. Mais il subsiste de très beaux monuments, évocateurs des splendeurs passées, une vie toujours trépidante, notamment dans le quartier du Grand Bazar ; et il faut aller sur le Bosphore pour apercevoir ces "yalis", résidences d'été construites par les notables stambouliotes à la fin du XVIIè siècle.

Et puis, comme le chantait Georges Brassens, "il suffit de passer le pont ..." et l'on se retrouve en Asie !

En quatre à cinq jours, on voit l'essentiel d'Istanbul. Certes. Mais il y a beaucoup plus à voir pour qui sait prendre son temps.